Selon nos informations, le manager actuel du CSBJ (Nationale), Sébastien Tillous Borde, va quitter le club Isérois en fin de saison, après 2 exercices passées sur le banc ciel et grenat.
L’ex demi de mêlée international a annoncé à ses joueurs, ce dimanche, sa décision et va donc vivre ses derniers mois en berjallie, avec l’objectif de qualifier les pensionnaires de Pierre Rajon en playoffs. Alors que ces dernières semaines, une prolongation du duo Tillous Borde / Pintiaux était à l’étude des 2 côtés, cette annonce vient rebattre les cartes du club pensionnaire de Nationale.
Selon nos sources l’ex coach du RC Toulon serait en contact très avancé avec un club de Pro D2, et devrait relever un nouveau challenge des l’été prochain. Certaines sources évoquent un départ vers Rouen, mais à l’heure où nous écrivons ces lignes, le nom de la future destination de STB reste floue. Joint par téléphone, le président du CSBJ, Henri-Guillaume Gueydan, n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations pour le moment.
En tout état de cause, une page se tournera à Bourgoin l’année prochaine, et fort certainement les CV vont affluer sur le bureau de président Gueydan, tant le club isérois a repris du lustre depuis sa descente de Pro D2, avec un des budgets les plus conséquents de la division, une effectif calibré pour la montée et des infrastructures flambants neuves.
Concernant l’avenir de Grégoire Pintiaux (entraîneur des avants), le mystère reste épais puisque, ce dernier était lui aussi en renégociant avec les dirigeants Rhonalpins. Pascal Papé, actuel directeur sportif du club Berjallien va-t-il endosser le costume de manager ? La question peut se poser, mais une chose est sure : le CSBJ est dorénavant en quête à minima d’un entraîneur des 3/4.
Bourgoin actuellement 6eme du championnat va donc devoir appréhender la dernière ligne droite des phases régulières (5 rencontres à jouer) et le derby, ce vendredi, à Bourg en Bresse, avec un gros point d’interrogation sur la composition de son futur staff la saison prochaine.
Article rédigé par Loïc Colombié
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