#Rugby – Nationale / Alexandre Albouy (Albi) : «Je ne suis ni pour les arrières ni pour les avants, je suis pour le rugby total!»

Retrouvez la réaction d’Alexandre Albouy, le coach des 3/4 Albigeois après la belle victoire (36-3) face aux ours Tarbais lors de la 5 eme journée de Nationale, qui ancre les albigeois dans le trio de tête de l’antichambre de la Pro D2.

Crédit photo Jacques Massine – Le #MagSport

On a vu un Sporting Club Albigeois qui a montré un beau jeu de 3/4. En tant qu’entraîneur des lignes arrières, tu as dû prendre du plaisir ? 

 

Je ne suis ni pour les arrières ni pour les avants, je suis pour le rugby total et je crois que c’est ce qu’on essaye de faire avec nos moyens, on travaille. Lors de la dernière sortie ici à domicile contre Périgueux, il y avait les intentions mais il y avait des ballons par terre et aujourd’hui, on a réussi à être propre, à conserver les ballons et à marquer des essais.

 

Tu nous dis que tu fais aussi ce métier d’entraîneur pour le plaisir que te procure les joueurs. Ce soir, ils t’ont donné du plaisir ? 

 

C’est sur le terrain que ça se passe donc quand ils prennent du plaisir, le public en prend et les gens qui sont sur le banc en prennent dont nous, les entraîneurs. Ça vient du terrain, puisqu’eux se sont régalés, les gens autour aussi. 

 

Je te le confirme, nous aussi aux commentaires. On sait que tu es un perfectionniste, quelle est la marge de progression pour Albi sur ce match ? 

 

C’est d’être encore meilleur dans la conservation, on a vu 4 ou 5 pertes de balles qui ne sont dûes qu’à nous et il faut que l’on arrive à les supprimer. C’est vrai qu’on n’a pas eu beaucoup, beaucoup à défendre mais je pense qu’on pouvait être encore mieux sur le plan défensif sur les 3 ou 4 séquences. 

 

Le point positif, c’est que vous allez aborder la réception de Narbonne avec de la sérénité et des acquis ? 

 

Chaque match est différent mais il est sûr que pour la confiance et le côté mental, ça fait du bien. 

 

Quelle est l’image que tu retiens de ce match ? 

 

C’est l’enthousiasme.

Propos recueillis par Loïc Colombié

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