Cette équipe graulhetoise, fidèle à son ADN, vous a donné du fil à retordre ?
On le savait, on s’y attendait et on l’avait travaillé toute la semaine. C’est dommage parce-que je pense que dès qu’on déplace le ballon et qu’on met du rythme, on met ces équipes à mal. En 1ère mi-temps, on a 4 ballons au bout de 5 minutes mais on n’en fait rien donc ça devient forcément plus compliqué et si on avait pu éteindre leurs espoirs à ce moment-là, on aurait fait un meilleur match. On fait une 2e mi-temps où, je pense, les spectateurs et les téléspectateurs ont dû bien se faire chier. On va travailler tous ensemble, le staff et les joueurs pour régler ça rapidement.
On va ressortir le positif et voir le verre à moitié plein. 4 matchs, 4 victoires et Nîmes reste leader ?
Il faut effectivement rester positif car c’est gagné et que c’est toujours plus facile de travailler avec la victoire. Donc on va rester positif mais on va travailler pour essayer de corriger toutes ces petites choses qui ont que, à un moment donné, on n’arrive pas à tuer le match en espérant que ça se passe mieux et qu’on offre un meilleur spectacle aux spectateurs pour le prochain match à la maison contre Beaune.
En plus, Beaune, c’est la Bourgogne et ça te connaît ?
Exactement (rires). C’est une équipe que je connais bien et qui ressemble un peu à Graulhet sur le jeu mais on a déjà le Stade Métropolitain la semaine prochaine et ce soir pour se reposer.
Step by step ?
C’est tout à fait ça.