
Lorsqu’on est blessé comme ça a été ton cas, comment arrive-t-on à retrouver sa place avec une politique managériale qui est de donner le maillot aux hommes en forme ?
Moi, je trouve que c’est une concurrence assez saine. On se partage le temps d’action, que ce soit en touche ou dans le jeu, c’est assez équilibré donc on a tous l’occasion de montrer ce que l’on vaut et ensuite, ce sont les coachs qui font les choix.

Quelles sont tes impressions sur Albi ?
Très bonnes, on est un groupe jeune où l’on se tire tous vers le haut. On dit tous qu’on est jeunes mais il y a quand même un bon climat de travail, on travaille tous bien ensemble.

Par rapport à Arcachon, les charges de travail sont différentes ?
Oui, c’est beaucoup plus élevé (rires).

Tu as senti le gap qui était passé ?
C’est mieux justement, c’est beaucoup mieux. C’est dur au début d’avoir une charge de travail plus élevée mais ensuite, tu t’adaptes.

Est-ce que dans vos têtes à vous joueurs, la pensée de faire un 4/4 en cas de victoire contre Marcq-en-Barœul est un objectif en soi ?
C’est aussi de rester invaincu à domicile. Je pense que c’est important pour tout le monde, le groupe comme les supporters.

Propos recueillis par Loïc Colombié

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