
Tu es un nouveau joueur arrivé dans un collectif qui s’est resserré l’an passé au gré des événements. Comment se passe une intégration dans ces circonstances-là ?
On est arrivé en Juillet dans un groupe hyper chaleureux et comme vous l’avez dit, hyper serré, ça crevait les yeux. C’est également un groupe qui nous a vraiment bien intégrés, qui a fait beaucoup pour que nous, les nouveaux joueurs, on soit intégrés facilement, ce qui a été le cas et ce qui a marché. Pour l’instant, à l’heure actuelle, je pense que tous les nouveaux joueurs sont bien intégrés dans le groupe et qu’on forme une équipe.

Tu as déjà joué dans le Tarn, à Graulhet, est-ce qu’on peut faire des parallèles entre Albi et Graulhet en termes d’état d’esprit ? De plus, quand tu jouais au SCG, c’était avec un certain Kevin Boulogne qui est devenu ton entraîneur ?
Le parallèle, c’est la mentalité tarnaise, je m’étais bien fait à Graulhet et je m’y fais bien ici aussi. C’est vrai que ça faisait drôle au début d’avoir Kevin en tant que manager en l’ayant connu coéquipier mais franchement, je suis très content d’évoluer sous ces couleurs.

Ce sont » deux salles, deux ambiances » ?
C’est ça (rires).

Qu’est-ce qui t’a marqué dès le début, ici à Albi ?
Le bizutage (rires). En venant d’un niveau en-dessous et en ayant connu un niveau au-dessus, ce sont les entraînements car l’an dernier, la charge d’entraînement était vraiment différente par rapport à cette année. A ce niveau-là, on se perfectionne de plus en plus et de mieux en mieux en ayant des entraînements de qualité.

Est-ce que tu as des objectifs persos sur cette première saison à Albi ?
Je me suis évidemment fixé des objectifs tels que jouer le plus possible et gagner le plus possible avec l’équipe.

Propos recueillis par Loïc Colombié

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