
Le match a été un petit peu compliqué pour Chambéry avec une 1ère mi-temps où vous avez été dominateurs mais sans scorer et, finalement, une 2e période où vous avez peut-être remis un petit peu les choses en marche pour vous imposer avec le bonus ?
Je pense que la 1ère mi-temps a surtout servi à les fatiguer, on a produit du jeu et on a réussi à rester dans leur camp et je pense qu’ils ont été fatigués. En 2e mi-temps, on est resté simple et au final, ça a payé, on a réussi à les fatiguer et c’est aussi pour ça qu’on marque beaucoup d’essais en 2e période.

En fin de 2e mi-temps, vous êtes très dominateurs devant et vous marquez pas mal d’essais sur ballons portés dont 2 pour vous ?
Comme je l’ai dit, on a fait un vrai gros travail collectif sur toute la rencontre et ça a porté ses fruits en fin de match où on reste dominateur en mêlée comme en touche. C’est pour le collectif.

Se profile maintenant un gros, gros combat du côté de Nice. Est-ce que quand on sort d’un match comme celui de ce soir, on a quelques certitudes sur son jeu pour aller affronter le leader de Nationale ?
Oui, on est confiant. On a vu ce qui allait mais on n’oublie pas non plus qu’on sort de deux déplacements très compliqués où on n’a pas réussi à mettre notre jeu en place et on sait qu’il faut que l’on montre un autre visage à l’extérieur que ce qu’on montre depuis le début de saison donc là, c’est vraiment un gros challenge.

Qu’est-ce qui explique cette différence entre de grosses dominations à domicile et plus de difficultés à l’extérieur ? Est-ce que vous arrivez à l’expliquer ?
On cherche encore les clés, c’est plutôt dans l’état d’esprit, il faut que l’on arrive à plus switcher à l’extérieur et si on n’y arrive pas à Nice, on n’y arrivera jamais. C’est un adversaire dont on connaît les qualités et le recrutement et là, ça va être un vrai révélateur pour la suite de la saison.

Notamment peut-être sur le caractère de cette équipe et cette capacité à aller peut-être chercher un résultat chez un très, très gros de Nationale ?
C’est ça, c’est essayer d’aller chercher des points partout. L’année dernière, on a réussi à le faire quasiment partout et c’est vraiment un gros défi qui nous attend.

Propos recueillis par Fred Charvet

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